Êtes-vous suffisamment armé(e)s pour leur résister…?
Heureux êtes-vous si vous parvenez à leur réchapper, car ils ne cessent de gagner en puissance…
Un phénomène de société dont on parle peu sévit pourtant depuis quelques années et guette tristement tant d’honnêtes gens :
les prédateurs sexuels et autres s’érigent en maître du jeu amoureux et n’ont rien de bien généreux.
Voici les révélations de notre enquête à propos de ce que l’on nomme the love’s game, ou le jeu de l’amour. À ne pas confondre avec le jeu amoureux, car celui dont il est ici question est potentiellement périlleux…
L’internet propose à profusion des informations de toutes sortes. « En veux-tu, en voilà », le Web vous tient, quand vous pensiez le tenir, les rapaces en tous genres aussi. Et pour ces loups revêtus en agneaux, vous n’êtes que des proies potentielles dont ils ne souhaitent faire qu’une bouchée. Alors, prenez garde à leurs stratégies rondement menées.
Le New-York Times a publié un article intitulé Love’s game, il y a quelque temps de cela. Les résultats d’une expérience, initiée en laboratoire avec succès par le docteur en psychologie, Arthur Aron, des années plus tôt, y ont été balancés au grand public, sans tenir compte de leurs impacts éventuels au sein de nos sociétés modernes sur-informées. Et, ceux qui n’attendaient que cela, se sont empressés de s’emparer de ce précieux secret, gracieusement livré pour leur plus grand plaisir, avec une seule envie : s’en servir pour mieux sévir.
Dorénavant, ils sont parés pour nuire au maximum
L’objet de cette étude consistait à prouver, au départ, que l’on peut tomber amoureux de n’importe qui, pour ne pas dire, rendre amoureux n’importe qui, en observant un certain modus operandi. Pourtant, certains esprits malsains y ont promptement trouvé matière à assouvir leurs désirs de prédation inavoués ou, peut-être, juste en sommeil.
les prédateurs sexuels font déploient leurs nuisibles talents sur la scène du jeu amoureux dont, seuls maîtres, ils font et défont continuellement les règles !
Hommes ou femmes, leur objectif est clair : faire tomber leurs victimes dans leurs filets, en faisant croire à celles-ci qu’ils les aiment vraiment. La suite est pour eux un jeu d’enfant, d’autant plus qu’ils connaissent bien les méthodes d’approche améliorées qui leurs sont dorénavant servies sur un plateau d’argent. Le loup du Petit Chaperon Rouge, aurait payé, lui, très cher pour acquérir le dixième de ce secret qu’ils obtiennent à présent pour rien.
Bienvenus dans le monde des temps modernes et dans sa jungle souvent invisible et, pourtant, si présente autour de nous !
Cette chanson d’Alice Cooper Poison résume tout.
Une fois entré(e) dans leur jeu destructeur, qui ne mime l’amour que pour mieux appâter leurs proies, il est peut-être déjà trop tard pour qu’elles s’en sortent indemnes !
Vous croyez sincèrement qu’ils vous aiment, alors qu’ils se sont jurés, en secret, de vous épingler à leurs beaux tableaux de chasse. Un beau trophée de plus, et rien d’autre, voilà ce à quoi ils vous prédestinent, dès le début, de ce que vous prendrez probablement pour une aventure normale.
Ils vous adorent au départ, vous promettent monts et merveilles et même la lune… On connaît la chanson, jusqu’ici, rien de nouveau, mais tout est dans l’approche mise au point par ceux qui, individuellement pris à part, n’ont pourtant rien d’un génie. En voici l’essentiel et, surtout, quelques précieux éléments. À présent, à chacun d’aller s’informer sur l’intégralité de ce document :
Il s’agit de procéder par étapes, en s’efforçant de se montrer sincère au possible. Se mettre à nu, dès le départ, oblige quasiment l’autre à se sentir en sécurité et à se dévoiler à son tour. Le maître du jeu n’a plus qu’à le (la) ferrer, en concluant « Échec et mat », à l’insu de sa victime adorée. le danger est d’autant lus grand, si le chasseur s’avère également doté d’une intelligence redoutable. Ce qui est souvent le cas des pervers narcissiques et autres psychopathes.
36 questions permettent à des individus sans scrupule d’exceller là où, auparavant, ils n’auraient eu aucune chance. Longtemps, on a appelé les séducteurs mal intentionnés des ensorceleurs. Mais ici, ce n’est pas vraiment le charme qui est en jeu. Il est plutôt question de savoir-faire.
Nous traduisons pour vous quelques aspects de ce jeu, créé au départ pour aider les gens à tisser des liens amoureux, mais qui s’avère potentiellement dangereux dans les mains des prédateurs des temps nouveaux.
Il est composé de 3 séries de douze questions ou de suggestions dont voici celles de la première ligne droite :
- Si vous pouviez choisir n’importe qui dans le monde, avec qui aimeriez-vous dîner
- Aimeriez-vous devenir célèbre, si oui, comment ?
- Avant de passer un appel téléphonique, est-ce que vous vous répétez d’abord ce que vous allez dire, si oui, pourquoi ?
- Que serait un jour parfait pour vous ?
- À quand remonte la dernière fois que vous aviez chanté pour vous-même ? Pour quelqu’un d’autre ?
- Si vous pouviez vivre jusqu’à 90 ans, tout en conservant ou la mémoire ou le corps de vos trente ans, que choisiriez-vous ?
- Avez-vous idée, par l’intuition, de la façon dont vous mourrez ?
- Citez-moi trois choses que votre partenaire et vous sembler avoir en commun ;
- À quoi ou pourquoi vous sentez-vous le plus (la plus) reconnaissant(e) dans la vie ?
- Si vous deviez changer quelque chose à la façon dont vous avez été élevé(e), de quoi s’agirait-il ?
- Prenez 4 minutes pour raconter votre histoire personnelle à votre partenaire de jeu avec le plus de détails possible. (Ceci n’est pas une question, mais ce qui est conseillé de faire à la personne qui souhaite apprivoiser l’autre)
- Si vous pouviez vous réveiller demain, en ayant acquis un talent ou une qualité, de quoi s’agirait-il ?
Parfois, les initiateurs du jeu n’ont même pas besoin d’aller jusqu’à la deuxième partie. Alors, renseignez-vous au mieux, pendant qu’il est encore temps, afin de ne pas devenir l’objet de ce jeu qui s’avère souvent cruel pour les joueurs malgré eux. Ce jeu s’avère d’autant plus malsain que certains y joue au détriment des autres et peuvent en nuancer les propos. Ne vous attendez donc pas à ce qu’ils vous répètent textuellement le contenu de l’une ou l’autre des étapes préconisées par ce prétendu jeu.
Les dés sont faussés, dès le départ, et il n’y a nulle gloire à gagner sur ce terrain. Pourtant c’est de pouvoir dont rêvent en réalité les pervers en tous genres qui s’y amusent, allègrement, à l’insu de ceux qu’ils ont soigneusement repérés et pris pour cibles. Et ils s’en enivrent jusqu’à en perdre tout repère pouvant les rattacher aux règles de bienséance.
Le monstre en eux surgit, enfin. Propos dénigrants, humiliation, déstabilisation remplace étonnamment la passion à une rapidité sidérante. Ils peuvent ainsi tester le degré de l’emprise acquise sur leur partenaire, ne se souciant plus de rien d’autre que de l’envie de satisfaire leurs pulsions accrues de domination. La victime est alors sacrifiée, sans le moindre remords, sur l’autel de l’orgueil, où leur Moi gargantuesque exige toujours et encore de nouveaux sacrifices, de plus grandes valeurs. Plus la proie apparaît comme étant inaccessible, plus le défi à relever s’avère élevé pour eux.
Avant l’essor de l’Internet, on parlait encore de mauvais sorts, en constatant les ravages de ces esprits malfaisants sur des personnes qui disposent a priori de toute leur tête. Aujourd’hui, il est grand temps de prendre conscience de l’importance de cette maxime de Lord Francis Bacon qui dit simplement et justement ceci :
« Le savoir, c’est le pouvoir ! ».
Vous voici informés sur certains stratagèmes et autres manigances de ces nouveaux prédateurs, en espérant que cela puisse vous permettre de leur échapper et d’informer largement vos proches, vos connaissances à propos de ce nouveau phénomène social des plus destructeur.
Et n’oubliez pas ceci : Le mal n’a ni race, ni couleur de peau, ni sexe de prédilection. Son ultime objectif est et reste celui-ci : Nuire, le plus possible ! Tels des démons lâchés dans ce monde aux abois, ils sont armés pour semer un maximum de dégâts.
Vous voici prévenu(e)s !
De nombreux ouvrages basés sur cette expérience prolifèrent sur le Net à ce sujet, depuis que cette expérience probante a été divulguée, et sont régulièrement mis à jour.
Cherchez, vous trouverez ! Mais, surtout, que ce soit pour mieux vous en protéger, sans fermer la porte aux âmes sincères qui n’aspirent qu’à vous chérir, véritablement et qui connaissent le vrai sens du mot AIMER.
Priez, oui, priez tant qu’il est encore temps, pour ne jamais tomber entre leurs mains comme le préconise le fameux Sinnerman de Nina Simone, grandiose !
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